LAMARCHE

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D'argent, à la grenade de gueules, feuillée, tigée de sinople et ouverte d'or, penchée vers le côté senestre de l'écu.

Lamarche-en-Barrois doit son nom à sa situation aux confins du Barrois. Dom Calmet lui a attribué par erreur les armes de l'ancienne maison de La Marche : d'azur à la croix d'argent cantonnée de quatre rocs d'or. René II permit à la ville de Lamarche de faire un nouveau sceau "qui sera aux armes du duché de Bar en substituant une fleur de lys à une croix recroisetée entre le dos des deux barbeaux". Lamarche était jadis fortifiée, mais ses murailles et son château furent totalement démembrés lors des guerres du XVII^e siècle. En 1636, sa population était réduite à dix habitants.

On peut être surpris de la présence d'une grenade dans un blason lorrain. Cependant, la grenade est un symbole d'unité dans la diversité, les nombreux grains, tous différents, sont enfermés dans un même fruit. Elle peut symboliser tous les étrangers venus repeupler Lamarche après la guerre de trente ans pour refaire une seule ville.

 

Union des Cercles Généalogiques Lorrains

Ancienne ville forte des marches de Lorraine et de Champagne.
Patrie de Claude-Victor Perrin, duc de Bellune, et des colonels Charles et Paul Renard qui construisirent le premier dirigeable français.

Le 2^nd mariage de Claude Victor Perrin, alias Victor, duc de Bellune, Maréchal et Pair de France, avec Willelmine Julienne Vosch van Avesaet passé en 1803 à La Haye, alors royaume des Pays-Bas, a été retranscrit dans les registres de Lamarche en 1828.

Aureil-Maison
Rapéchamp
La Trinité

Les actes de baptême commencent en 1601, de sépulture en 1620 et de mariage en 1665.

Paroisse dont Aureilmaison était la dépendance et Villotte, l'annexe
Diocèse de Toul, doyenné de Vittel

Barrois
1751 : chef-lieu de bailliage
1790 : chef-lieu de district et de canton
an VIII : arrondissement de Neufchâteau, chef-lieu de canton